Le quartier du Sentier est l'un des plus vieux de Paris. Quartier des voleurs et des mendiants, il a longtemps eu une très mauvaise réputation, c'est dans l'actuelle rue du Nil que se serait trouvée la fameuse Cour des miracles.
vendredi 26 février 2010
Le Sentier, Paris 2ème
Le quartier du Sentier est l'un des plus vieux de Paris. Quartier des voleurs et des mendiants, il a longtemps eu une très mauvaise réputation, c'est dans l'actuelle rue du Nil que se serait trouvée la fameuse Cour des miracles.
mardi 23 février 2010
dimanche 21 février 2010
Les habitants de Botkyrka
En ce moment au Jeu de Paume à Paris, on peut voir le travail d'Esther Shalev-Gerz, artiste née en Lituanie, qui a grandi en Israël et qui vit désormais à Paris. Esther Shalev-Gerz s'intéresse notamment à la mémoire individuelle et collective, au temps et à l'espace.
vendredi 19 février 2010
Etoile des neiges
mercredi 17 février 2010
La créolisation du monde
dimanche 14 février 2010
samedi 13 février 2010
jeudi 11 février 2010
Philippe Bordas à la MEP
Pour sa nouvelle saison, la Maison Européenne de la Photographie présente le travail de l'écrivain et photographe Philippe Bordas. Ses photos sont superbes et parfaitement mises en valeur par l'éclairage de la MEP. Il propose un regard relativement inhabituel sur l'Afrique, on peut y voir notamment l'écrivain Frédéric Bruly Bouabré, ainsi qu'une série incroyable sur l'armée ressucitée des chasseurs d'Afrique de l'Ouest.
mardi 9 février 2010
Quid de la diaspora israélienne?
Historiquement, le mot diaspora renvoyait uniquement aux juifs. Aujourd'hui, on parle communément de "juifs de la diaspora" en opposition aux juifs installés en Israël. Depuis que l'Etat d'Israël existe et que ses habitants (du moins une partie) ont la nationalité israélienne, s'ajoute aux juifs de la diaspora une diaspora israélienne constituée de citoyens israéliens ayant quitté Israël. Ce premier point ayant été exposé de façon tout à fait limpide, je passe au second.
A priori, quitter Israël n'est pas franchement bien considéré. Les émigrants juifs (ceux qui quittent Israël donc) sont appelés Yordim (de Yerida, la chute), mais dans le contexte éminemment particulier du conflit israélo-palestinien, les rapports entre Israël et la diaspora israélienne sont un peu plus compliqués que cela...
Gideon Levy, correspondant du journal israélien Haaretz analyse aujourd'hui la décision du gouvernement de Nétanyahu d’autoriser les expatriés israéliens à voter à distance, eux qui hier encore étaient considérés comme des traitres. Dans un pays où une partie des citoyens a des droits réduits, où les partisans de la gauche sont considérés comme de mauvais patriotes et où la participation à l’effort de guerre est obligatoire, ouvrir le droit de vote à des personnes qui n’habitent plus en Israël depuis des décennies est plutôt cynique pour l’auteur de l’article.
On comprend facilement que la droite israélienne au pouvoir souhaite bénéficier de ces nouvelles voix et endiguer la "menace" démographique, mais ainsi que le souligne ironiquement le journaliste, pourquoi ne pas autoriser demain les juifs de la diaspora à prendre part à la vie politique israélienne ?
Au-delà de la légitimité des Israéliens expatriés à participer aux élections, Gideon Levy s’inquiète de leur positionnement politique. Une partie des Israéliens expatriés a un discours sioniste militant, ils souhaitent un renforcement des moyens militaires et une poursuite de la colonisation. Le journaliste estime qu’il est facile d’être nationaliste quand on vit à Manhattan et que l’on laisse les habitants d’Israël payer les pots cassés.
Pour lire l'article de Gideon Levy: http://www.haaretz.com/hasen/spages/1148527.html
lundi 8 février 2010
Guerre froide sur la Côte d'Azur
La famille impériale de Russie aimait beaucoup la Côte d'Azur et séjournait régulièrement à Nice. Une colonie russe aisée a commencé à se constituer sur la côte française au 19ème siècle.
samedi 6 février 2010
vendredi 5 février 2010
Le club des policiers yiddish
jeudi 4 février 2010
"Travailler avec les diasporas"
Le 12 février 2010, l'Institut de formation des élus territoriaux (IFET), la Centre national d'histoire de l'immigration, le Partenariat eurafricain et la revue Hommes & Migrations organisent une formation "Travailler avec les diasporas dans les collectivités locales" qui est tout à fait symptomatique de cette évolution.
La place des diasporas dans le développement solidaire fait partie des sujets qui seront évoqués.